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Le yoga prénatal : l’idéal pour se préparer l’arrivée de votre enfant ?

Quel bonheur de préparer l’arrivée de bébé ! Et pour cause, avoir un enfant est une chose merveilleuse dans la vie d’une femme. Mais voilà, bien loin d’être un moment agréable, les douleurs lombaires, les souffrances de ventre, les nausées ou encore la fatigue sont autant de maux qui s’invitent eux aussi

Depuis quelques années, il est recommandé de pratiquer une activité physique douce pendant la grossesse et, parmi toutes les possibilités, le yoga prénatal arrive en tête. Alors que cette discipline connait de plus en plus de succès, pourquoi ne pas essayer ? 

Gros plan sur les raisons d’en faire l’alliée de la grossesse

Yoga prénatal et grossesse : des atouts illimitées 

Bien plus qu’un sport, le yoga prénatal et la grossesse forment un duo gagnant. C’est d’ailleurs le sport doux par excellence. Alors que cette période laisse les femmes en proie aux doutes, à l’anxiété et aux désagréments de la grossesse, le yoga prénatal permet d’atteindre le bien-être. Les mouvements réalisées activent la circulation, l’oxygénation des tissus, réduisent le risque de développer un diabète gestationnel, soulage les maux articulaires et musculaires, stimulent la production d’hormones « anti-douleur » tout en favorisant la positive attitude. Grâce aux mouvements adaptés, le corps devient plus tonique et souple. Et si le yoga permet aussi de renforcer le lien mère/enfant, il favorise le lâcher-prise, la détente. Bref, c’est parfait pour vivre sereinement la grossesse, trouver le bon équilibre, développer la connaissance de son corps tout en développant la force mentale et l’endurance qu’il faut avoir pour l’accouchement. Pas étonnant que le yoga prénatal soit recommandé par les sages-femmes !

Yoga prénatal et grossesse : des périodes propices 

Ce qu’il y a de bien avec cette discipline sportive c’est qu’elle peut être pratiquée à tout moment. Quel que soit le stade de développement du fœtus, pratiquer le yoga prénatal est possible. L’idéal pourtant serait le 3ème trimestre de la grossesse, mais rien n’empêche de démarrer avant. Bien entendu, il faut que la grossesse se déroule bien et qu’il n’y ait pas de contre-indication (col trop ouvert, contractions nombreuses, mise au repos … pour autant il est toujours possible d’adapter la pratique). Dans tous les cas, pour en faire un allié, mieux vaut prendre son temps pour respirer profondément, éviter de forcer et s’hydrater en buvant des petites gorgées avant, pendant et après la séance mais aussi de bien manger pendant la grossesse. Si une séance par semaine est conseillée au début de la grossesse, le rythme peut passer à deux séances par semaine le dernier mois avant l’accouchement. 

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Yoga prénatal et grossesse : et plus si affinité

Si certaines postures permettent de soulager les maux pendant la grossesse à l’image de « la tête de vache » pour la sciatique ou du « papillon allongé » pour renforcer le lien avec bébé, pourquoi ne pas continuer après l’accouchement ?  Le yoga sera là encore d’une grande aide pour retrouver la ligne, l’énergie, continuer à avoir une bonne hygiène de vie, retrouver l’équilibre mais aussi à rester calme et sereine face aux fluctuations hormonales. L’occasion de se réapproprier son corps, de vaincre la fatigue pour profiter pleinement des premières semaines d’existence avec bébé. Ami précieux pendant la grossesse, le yoga l’est aussi après. Il peut d’ailleurs être pratiqué quel que soit l’âge de l’enfant et pour cause : le yoga s’adapte très bien à l’évolution du corps féminin.

Exit les reflux gastriques, le stress, les douleurs et autres maux de la grossesse, le yoga prénatal fait des miracles. À plus forte raison pour la méthode de Gasquet qui permet le travail du périnée et protège face au risque de la descente d’organes. En somme, les avantages ne manquent pas pour tester ce sport naturel et doux.